Ancienne chargée d'enseignement à l'Université Paris V, Paris VII et au CNAM, son expérience de plus de 15 ans dans le public et le privé lui permet d'accompagner les cadres et les collaborateurs dans les conduites managériales et dans les processus de changement. Elle établit des diagnostics (organisationnels et en clinique de l'activité) pour aider les entreprises dans leur prévention de la souffrance au travail et de la maladie mentale. Répertoriée sur le site des consultations de « souffrance-et-travail », elle accueille en individuel des personnes abimées dans et par le travail. Elle effectue des enquêtes de terrain en clinique de l'activité et en psychodynamique du travail.
Elle anime les formations :
- Les écrits professionnels du psychologue
- Psychologie pour non-psychologue
- Prévenir les dommages psychiques liés aux changements
Les psychologues, qu'ils soient psychologue en santé au travail, en établissement de santé, en établissement social ou médico-social, sont amenés à produire des attestations, des comptes rendu de bilan psychologique, d'entretien, de groupe d'analyse des pratiques professionnelles, etc.
Le code de déontologie appliqué par les psychologues constitue pour eux un cadre structurant qui assied leur place et leur posture car leur exercice professionnel peut être très « médiatisé » et « psychologisé ».
Ils peuvent rencontrer plusieurs difficultés pouvant se combiner :
- identifier déontologiquement ce qu'il est possible de révéler et donc d'écrire, à qui cela s'adresse et quelles conséquences pourront avoir leurs écrits ;
- utiliser le vocabulaire et la forme adéquats ;
- résister aux injonctions des institutions.
Je leur donnerais 3 conseils simples :
1) Bien identifier le contexte lié à la rédaction de l'écrit.
2) Eliminer tout parti pris
3) Rédiger clairement et sobrement les faits les plus importants
17/08/2015
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